Section open Tourisme — Vallée de l'Eure — 12 septembre 2014
Château d'Anet La vie d'une diane chasseresse avisée |
Nouvelle sortie de la section «open-tourisme»… « Open » car elle est ouverte à tous et à chaque membre de l’UVO quel que soit son niveau « cycliste » et son groupe habituel (VTT, Route G1 à G4 et Promenade) : il ne s’agit bien sûr pas de réaliser une performance. Nous roulons tous à la cadence du moins-disant. Une sortie «Tourisme» est surtout l’occasion de papoter, de visiter les sites de notre riche région qu’en temps habituels nous traversons la tête dans le guidon : ce sont les monuments qui nous regardent passer et ça fait ruminer les vaches… Nous avons choisi Anet et son château. C’est typiquement le monument sympa devant lequel l’UVO s’arrête très souvent pour faire des photos, mais sans jamais franchir le «pont levis». Le choix de la date est le fruit d’un sondage. Et, bingo ! toutes et tous les intéressés ont participé. Nous sommes partis à 10. Génial, non ?! Bien sûr, il nous manquait Mumu (qui travaille, la pôvre…) et Mado (au repos encore quelques jours). Un temps magnifique. On avait à parcourir un périple de 60 kilomètres en gérant la courbe de niveaux. Route hyper facile à l’aller par Tilly, Millerus, les Gâtines rouges, puis la longue descente vers la Chaussée d’Ivry, Ivry-la-Bataille… Ezy-sur-Eure (arrêt buffet). Le retour s’est fait en empruntant (à 6-7%, c’est pas donné ! mééé… on chahute) la bosse assez longue qui remonte |
« Celui qui m’enflamme a le pouvoir de m’éteindre »… C’est la devise et l’emblème de **Poitiers: une torche enflammée renversée vers le bas. Diane est née entre Dauphiné et Provence. A l’âge de six ans, Diane partait à la chasse avec son père et possédait son propre faucon. A la cour de Louis XII, elle étudia le latin, le grec, le théâtre, la danse, et se plongea dans l’étude de chefs-d’œuvre classiques, la philosophie de Platon… Diane prit un fort caractère : mépris des intrigues, dignité du rang à tenir, noblesse du goût, art de la conversation… elle assimila tout ce qui faisait une vraie dame de la Renaissance.
D'une vigueur exceptionnelle, Diane montait régulièrement à cheval, se baignait chaque jour dans une rivière et, cherchant à prolonger sa belle jeunesse, elle se soignait avec des décoctions de poudre d'or… « remède » qui lui fut fatal. |