Premier petit Déjeuner à Satillieu : Gilles, Gabin (Sapeur Pompier de Paris), Christian, Thierry et David SPP). Les choses sérieuses vont commencer.
Petit-Déj. Suite. Alain, Ti-Joual, Bernard, Claudius en bonnet de nuit.
Nos potes des Essarts... bien se caler pour bien démarrer.
Saint-Félicien. La photo officielle, avant le départ, dans un désordre officieux : il y en a toujours un (ou deux) qui manque à la pelle ( :o))
Saint-Félicien. Là, c'est du costaud. Le G1 renforcé par trois sapeurs-pompiers... Des fourmis dans les jambes.
Poussons, poussons l'escarpolette. Le parcours de l'Ardèche verte (Cance) repasse par Satillieu où nous avons nos habitudes
Satillieu : le sac... Attends, Bernard, c'est pas comme ça. Je vais te montrer !
Et c'est parti pour la grande débauche de gentillesse et de douceurs (pour les papilles et l'estomac).
Annonay. Pat, version danseur de salon professionnel : dansons, joue contre joue, sous l'enseigne de l'épicerie de la liberté
...Et il peut faire mieux : chasser la drague couine...
Saint-Félicien-Plages et retour. De loin l'étape la plus cool. Zéro kilomètre, zéro dénivelé... On attend, hilares, l'EPO (eau, pastis, olives).
Privas. Choyés par des mémés, comme de grands dadais. On aime.
3000 bénévoles pour s'occuper de nous et de nos petits plaisirs... On ne dira jamais assez Merci ! Ici, Colombier-le-Jeune
Colombier-le-Jeune. Surtout ne pas les vexer. Ces braves gens n'apprécient pas qu'on boude les douceurs préparées pour notre grande satisfaction...
Colombier-le-Vieux. Les fromages (la caillette ardéchoise, les tommes de chèvre, les picodons et cabredous)…
Bozas. …les salaisons, les fruits, les confitures, les préparations, le triffou de Borée…
Colombier-le-Jeune. …la bière à la chataîgne... la crème de marron, le velouté aux ceps de Saint-Bonnet-le-Froid… et tant et tant !
En Ardèche, elles ruminent mais n'ont pas accès au prozac. Elles tirent un plaisir malin du spectacle. Pas elles qui vont essayer le cyclotourisme.
Une triplette bien acclimatée à l'Ardéchoise. Les trois mousquetaires : Christian, Alain, Gégé ; le quatrième (Daniel) fait la photo.
Les voilà les guerriers du groupe 1. Debout, Alain, Daniel, Gégé, Yannick, Christian ; accroupis, David et Gabin. En fond de vallée la rivière..
Marvigne. Les mêmes (du groupe 1) plus les costauds du groupe 2 : Serge, Jacques, K'ptain Jean-Louis, Thierry, Guillaume.
Toute l'Ardèche profonde est concernée. Ici, les enfants d'une école d'Issarles
Et en plus ça mène la vie à grande guide...Du plus grand au plus petit ( :o)) Alain, Daniel, Gégé, Jacques. Puis, en paquet : Thierry, K'ptain Jean-Louis, Christian, Guillaume... Serge se cache derrière.
Nos trois sapeurs du G1 : Yannick, David et Gabin. Ils sortaient d'un commando sur le GR20.
La ligne de partage des eaux, en Ardèche, sépare le bassin de la Loire (vers l'Atlantique) et celui du Rhône (vers la Méditerranée).
Allez : moumouille papatte ! Voilà une eau (presque fraîche) qu'Alain aime rencontrer pour la trempette…
Le feu au pied, à vélo, ça peut être terrible !
Bessas. Un accueil et un ravito d'une très grande qualité.
Pat et Jean (SPP) auprès de Jean Ferrat. L'Ardèche a inspiré une de ses grands succès populaires... On approuve : Que la montagne est belle !
Albion. Comment résister à pareille invitation. Nan ! On ne voit qu'une seule possibilité : se laisser faire.
N'ayons pas peur des oxymores : la montagne est belle, douce et brutale.
Avec son dossard 12072, on ne parvient pas à savoir sur quel parcours elle s'est engagée. Certainement du Vétété. Allez, courage, ma biquette !
Sainte-Eulalie. Christian le cyclo et Jeannot le lapin.
Pradon. Après avoir grimpé le terrible Teste rouge.
Renoir a-t-il participé à l'Ardéchoise avec sa palette dans la musette ? Bien sûr. La preuve !
Sainte-Eulalie dans le jardin des sept nains des frères Grimm. C'est Bernard qui prend la photo. Pat, Ti joual, Elie, Gilles, Jean.
Saint-Pierreville. Daniel prêt à se lancer dans le corso fleuri. Superbe calèche au mimosa !
Aiguèse (Gard). Ça, on ne le voit pas si souvent : les grosses cuisses du G1 font du tourisme à pieds...
Gabin craint la grosse soif. Il a raison : prudence est mère de sécurité... Wouaaaarfff ! ( :o:))
Le sud-Ardèche, avec les "Peace and love" d'Orgnac l'Aven.
Le vélo à l'honneur descend le parvis de la mairie de Privas.
En parfaite communion avec la nature. Au nom du persil et du cresson : des fayots, des oignons, de l'ail. Ainsi soit-il ! Une malice grave dans le regard, il nous bénit avec un bouquet de haricots verts (très frais).
Vous montez là-haut ? (Mézilhac)... Dépêchez-vous, avait-il enjoint en observant là-haut. Il va faire de l'orage… En plus, il fait météo parlante.
Le cycliste déshydraté cherche le cimetière comme le chameau l'oasis. Bientôt c'est l'orage, il avait raison le druide, l'orage est bien là. Mezilhac.
Mezilhac. Petit déj. très coloré (chambre d'hôte modeste mais hypersympa).
De Mezilhac au Gerbier. L'orage d'hier soir a laissé sa nappe d'humidité qui s'échape du fond de vallée. Spectacle impressionnant et plein de poésie.
Géologiquement, le secteur des Sucs fait partie des Boutières. Le paysage y est toutefois très particulier.
Au travers de herses de pins, le superbe paysage des Sucs.
Les sucs. Splendide succession de dômes, legs d'un héritage volcanique.
Quelquefois, des mèches de résineux repoussent sur le mont chauve.
L’Ère du tchier de Borée : une œuvre contemporaine surprenante. La prochaine fois, on s’arrêtera plus longtemps.
Bernard au Gerbier... C'est une région où il pleut (il paraît) mais cette année on l'a vue sous le signe du soleil : les orages la nuit !
Petit biclou deviendra grand. C'est clair. Pour le "petit cyclo", c'est déjà moins sûr.
La valse des galurins. Ah, on n'est pas les derniers à faire l'andouille. Le G3
Il y a un monde fou au ravito de Sainte-Agrève, nœud gordien de la circulation cycliste pour le final de l'Ardéchoise.
Bientôt la fin... sur les pentes du col du Buisson
Dans le col de Lalouvesc. Cette fois, c'est une religieuse en cornette qui harcèle les cyclistes avec des gobelets d'eau...
Ultime ravito. On repart… dans quelques minuscules kilomètres, l'Ardéchoise 2013 entrera dans le domaine du souvenir. Vive l'Ardéchoise 2014 !
L'UVO et l'Ardéchoise : toujours mieux
L'histoire d'amour continue
12, 13, 14, 15 juin 2013. Encore et toujours mieux… C’est une image, bien entendu, parce que nous avons déjà tutoyé les premiers rangs. En 2011, nous étions grimpés sur la marche de bronze : 3e. En revanche nous n’avions jamais parcouru autant de kilomètres... Vous allez croire qu’on l’a fait exprès ! Non. Pas vraiment. Bin, disons un peu quand même… Et, fatalement, vous allez penser qu’on exagère !? Si, si : on vous connaît. Tricher ? mentir ? Mais alors là, pas-du-tout de chez «Pas-un-iota!». Et d’ailleurs quel intérêt d’en rajouter ? C’est suffisamment extraordinaire pour un petit club de la grande banlieue houdanaise (hihihi !) de grimper sur le podium d’une épreuve aussi relevée : la plus grande concentration européenne de cyclisme en montagne : 15000 participants. En 2012, nous étions heureux d’avoir accroché la 6e place. Cette année, la 3e nous est tombée dans le palmarès. 1612 clubs participants : troisième ! Pas maaal ! La médaille d’or n’est pas loin ! On galèje : c’n’est pas une compète. On n’y chante pas La Marseillaise : le classement est déterminé au kilométrage total parcouru par le club (9 964 km pour l’UVO et ses 19 participants). Nous avons porté haut les couleurs d’Orgerus, et ce n’est pas une formule creuse : nous avons gravi 179 268 m de dénivelé (ça nous impressionne nous-mêmes). Surtout, ne pensez pas que ça se parcourt en fumant la pipe : il faut tourner les gambettes. Des
chapelets de cols, de la sueur, des douleurs aux guiboles, des pieds en feu, des courbatures de partout : bras, nuque, poignets, sans parler de ce qui sert pour s’asseoir (rires enregistrés…) Remarquez qu’on ne se plaint pas; la vraie récompense c’est la découverte sans cesse renouvelée d’un paysage sublime et d’une population extraordinairement accueillante et enthousiaste. Une
ambiance festive tellement, tellement hospitalière et fraternelle que, pour le coup, trop en parler nous ferait passer pour des cravateurs ou pire : des gars de Marseillô (on galèje, on vous dit !). Jetez un œil. Le diaporama vous offre quelques images qui donnent une bonne idée de l’ambiance et du cadre de l’Ardéchoise. Vous comprendrez combien « La montagne est belle » à tout point
Tourisme : Les cailloux de Borée
Certains Boréyous et Boreyouses ont trouvé saugrenue l’idée de planter des pierres — même sculptées — juste sous le Mézenc. L’ère du tchier de Borée (le tas de pierres) est une œuvre monumentale, calendrier aux références cosmiques, déterminant les huit rapports à la divine proportion. Puis, ils s’y sont faits. C’est une installation tout à fait contemporaine, inaugurée le 1er mai 2008. La prochaine fois, il faudra s’arrêter plus longtemps. D’autant que le village de Borée recèle quelques richesses dont une église originale du XVe à la façade polychrome (tuf jaune, granite, trachyte et scorie rouge), abritant la statue de la « Vierge noire du Genestoux ».
Ils ont parcouru :
Le groupe 1 : quatre cyclo-sportifs de l’UVO — Alain, Christian, Daniel, Gégé et trois sapeurs pompiers — David, Gabin et Yannick— on sillonné La Méridionale-Montagne Ardéchoise en quatre jours, soit 619 km avec un dénivelé de 10 775 m et 45 cols. Le groupe 2 : cinq cyclotouristes de l’UVO — Guillaume, Jacques, K’Ptain Jean-Louis, Serge, Thierry — ont effectué le même parcours sauf « Les Sucs soit, en quatre jours, 562 km, dénivelé de 9055 m et 20 cols. Le groupe 3 : cinq cyclo-touristes de l’UVO — Bernard, Elie, Gilles, Ti-Joual et Pat plus un sapeur pompier: Jean — ont vaincu Les Hautes Terres en trois jours, soit 346 km, dénivelé 6540 m et 18 cols… plus l’Ardèche verte (Cance) : 86 km, 1503 m de dénivelé et 3 cols. Le Groupe 4 : 1 sybarite de l’UVO — Claudius — a visité Les sucs dans un périple de 254 km en trois jours, 4610 m de dénivelé et 12 cols, plus l’Ardèche verte (Cance) 86 km, 1503 m de dénivelé et 3 cols.
de vue. A l’UVO, nous sommes amoureux de cette «épreuve». Amour, semble-t-il, partagé. L’Ardéchoise, c’est « un truc » qu’il faut faire au moins une fois dans sa vie de cyclo (sportif et touriste). Avis aux amateurs de belles émotions humaines, sportives et conviviales.