1 - Stéphane Schwetzer, 2 - Pierre Ephritikhine, 3 - Elie Setiaux, 4 - Daniel Douceau, 5 - Pascal Caumont, 6 - Alain Wielgus,
7 - Alain Lemaire, 8 - Frédéric Blin, 9 - Gérard Vieillot, 10 - Daniel Alland, 11 - Thiery Evanno, 12 - Pascal Petit, 13 - Alex Singer, 14 - Hervé Rault, 15 - Christian Huck, 16 - Stefan Kussener, 17 - Jean-Louis Herard. Vincent, qui roule depuis Orgerus, n'est pas encore sur la photo... |
5 mai 2016 — Les Coteaux de la Seine — Mantes-la-Ville Alain pète un câble et tombe sur un os
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Jeudi 5 mai, 7h du mat’. Dix-sept cyclos se retrouvent au départ de la rando des Coteaux de la Seine, organisée par le C.A. Mantes-la-Ville : un «petit» 120 ou un «petit» 200 km, au choix. Allez, en route ! C’est le matin un peu frais d’une longue journée qui s’annonce ensoleillée. Elie nous laisse partir et roulera seul. Bravo à lui. Au bout d’une dizaine de kilomètres, première réjouissance pour atteindre la route des crêtes. La côte de Vétheuil nous réchauffe un peu ! Tout le monde roule… Après Chérence nous trouvons un abri solide — pour vaincre le vent — dans un paquet important, constitué de cyclos de toute provenance, comme il s’en forme souvent sur les «200». Ça roule grand train et l’UVO ne laisse à personne sa part de boulot… mais, diantre ! à Vernon, il manque un copain. Quel copain ? Moi !? Si, si… Je suis toujours en mode préchauffage. Désolé, je ferai mieux la prochaine fois… Pascal Caumont et Alain Wielgus m’attendent et me ramènent vers la troupe de l’UVO… merci les gars ! Regroupement des forces orgerussiennes… Nous roulerons ensemble jusqu’au kilomètre final. On repart… mais pschiiit… première crevaison de… Pascal Caumont. Est-ce le début d’une litanie «crevante» ? Le souvenir d’une partie de plaisir dans «Les Boucles des Yvelines » resurgit ! Nous repartons et qui voilà ? Vincent ! Bravo Vincent ! Parti d’Orgerus, il a «profité» de cet arrêt prolongé pour intégrer le groupe : nous sommes donc 17 et nous longeons la Seine, sans la voir. Port-Mort passé, de nouveaux ébats — une bagatelle — nous grimpent vers le château des Andelys à travers la forêt du même nom. Nous quittons le niveau de la mer (ou presque) — 14 m d’altitude — et atteignons les sommets aux neiges éternelles, (ou presque) — 154 m ! Puis c’est une descente vertigineuse vers le premier contrôle, aux Andelys. Cette |
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les copains. Alain doit ajuster son bricolage de dérailleur et ne trouve rien de plus efficace qu’un morceau d’os — j’ai bien dit un bout d’os — pour caler son câble avec son cadre. Normal on est arrêté près d’un cimetière. Quelle imagination, l’UVO ! La troupe repart mais toujours avec Thierry (le même) à un rythme de cuisses en mode hibernation ! Nous continuons vent de face. Cette fois Pascal lâche prise : nos «amis» du G1 roulent, roulent, roulent… Thierry et Pascal rattrapent Alain, arrêté en bord de route et déchaussé. Les panards qui chauffent ! Qui veut essayer de pédaler pieds-nus sur des fers à repasser ? Oui, chauds ! juste histoire de savoir ce que ça fait… Dernier contrôle. Tout le monde est groupé pour entamer la quarantaine de kilomètres restant. Une dernière petite montée à Blaru… puis de la montée vers Notre-Dame-de-la-Mer… étirent le groupe. Jean-Louis sent les crampes le titiller. Pascal et Thierry (encore eux !) laissent les points du «grimpeur»» aux sprinteurs… Bin oui, ils sprintent en côte. Au total, c’est une magnifique rando parcourue sous un soleil presque estival… en témoignent quelques coups de soleil !... un parcours très plaisant, dans la végétation printanière, apprécié par des néophytes, ou presque, qui ont passé avec succès les jalons des 200 bornes. Une rando quasi groupée jusqu'au final. 17 partants, (11 sur le 200). Ce n'était pas gagné : les coteaux s’enfilant les uns derrière les autres. D’ailleurs, Buchelay est en vue, puis Mantes-la-Ville… Nous savourons sandwiches et boissons… et notre «classement» du club le plus nombreux, nous rend joyeux et fiers comme des paons : deuxièmes, juste derrière l’UC Flins ! Léon ! Léon ! rit le paon… Voilà ! C’est réussi… c’est super ! C’est sympa ! Merci les copains. Thierry Evanno
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