• Du balcon de chez Félix et c'est là-bas qu'on va
  • Une bonne adresse. Attention à la myrte
  • Pont génois de Pianella
  • Vers les gorges de Spelunca
  • Nathalie reprend le vélo, ça pique un peu
  • Ota, c'est de là-bas qu'on vient
  • C'est quand même autorisé aux vélos !
  • Porto à 8h30. La plage est déserte
  • Golfe de Girolata et la Scandola
  • Les calanches de Piana
  • On en prend plein la vue dans les Calanches !
  • Il est où le bonheur, il est où ?
  • Il est là le bonheur, il est là !
  • Cargèse et sa plage
  • N'rigole pas trop, ça va bientôt monter
  • Ça monte ! moi je rigole pas !
  • Et c'est parti pour le Col de St-Sauveur (536m)
  • 8En route pour Vico
  • Il y aura des chips  à Vico ?
  • Vico ? Super ! J'ai une patate d'enfer
  • Pour moi ? Saucisses-frites et Piétra
  • Il y a des œufs dans votre omelette ?
  • Exceptionnel, pas de trous, pas de grafiti, Elle est posée depuis moins d'une heure ?
  • Une échappée qui n'ira pas loin !
  • Le col de Sévi (1101m), certainement le plus difficile du périple
  • Le col a bien Sévi ! Jean-Louis récupère
  • Maillot à pois de meilleur grimpeur (Tour de Corse féminin)
  • Une petite pause bien méritée (51 km de grimpette aujourd'hui)
  • De l'eau, pour le bidon, pour boire tout de suite et pour les pieds
  • Attention, Valérie, regarde ce que tu fais
  • Le col de Vergio (1478 m) et le Christ Roi
  • Le col de Vergio depuis Sagone (3 cols, 47km, 2000 m de dénivelé
  • Et maintenant, 40km de descente jusqu'à Ponte Castirla
  • Entrée dans les gorges de Santa Régina
  • Les gorges de Santa Régina
  • Dans le fond des gorges
  • Une chouette et longue descente
  • Trop près du vide, j'ai le vertige
  • C'est beau l'amour
  • Chez Paul et Sylvie Colonna à Castirla
   
Le Tour de Corse de l'UVO
(du 23 au 29 mai 2017)
Troisième étape :
de Ota (Porto) à Castirla (proche de Corte)
(137 km • 2 900 m de dénivelé)

Le circuit que nous avons concocté propose un des joyaux de la Corse « Les Calanche de Piana »
avec ses roches magmatiques d'un rouge qui contraste avec le bleu profond de la mer.
 
Puis il nous emmène au sommet du col de Vergio et ses 1478m
Arrivée chez Paul et Sylvie Colonna
qui nous nous offrent généreusement une eau-de-vie « authentiquement frauduleuse »
 
Hips !
 

Cochons en liberté

Si les « petits cochons » ne nous mangent pas, nous terminerons notre tour de Corse…
 
Elevés en plein air, ces cochons profitent grassement des ressources naturelles de la montagne.
De race (Nustrale) élevée en Corse et nulle part ailleurs ; des qualités génétiques particulières de gras...
une alimentation naturelle, une finition à la châtaigne et aux glands de chênes
(pas d’additif autre que sel et poivre. Méthodes traditionnelles de séchage et d’affinage, etc.)
 
Une viande exceptionnelle.
 
Hum, du nanan ! Le porc corse, c'est vraiment du cochon !


 
 
 L’étape du jour s’annonce être une des plus sévères. Dommage parce que la réparation du vélo de Laurent n’est pas top : impossible de monter sur les deux derniers pignons. Nathalie reprend le vélo aujourd’hui.

 Y a des œufs dans votre omelette ?
 Ça commence par une superbe route en descente jusqu’à Porto, puis la montée et la traversée des Calanches de Piana, Cargèse, Sagone. En suivant les conseils de Frédéric Blin nous prenons une petite route, pour rejoindre Vico.
 C’est la patate ce matin. Mais évidemment ça monte et plutôt raide. Et qui est arrêté au bord de la route une chambre à air à la main ? Daniel ! Si ! Mais c’est Laurent qui a crevé ! À Vico, midi sonne, nous finissons par choisir un resto, pas de chips mais Pizza ou omelette au Bruccio (prononcer Bròtchioui>), fromage AOC corse… Valérie, encore dans les vapeurs de Myrte ? : « Il y a des œufs dans votre omelette ? », Pietra ou Orezza, eau pétillante).
 Décollage pour le col de Sevi (1 102 m), 8 km à 7 % avec un premier premier kilomètre indigeste à plus de 10 % (la pizza pèse). Après les 2 derniers à 12 %, c’est bon la digestion est faîte ! Jean-Louis Hérard termine très fatigué, il finira tranquille jusqu’à Evisa surveillé par Nathalie.

 Facile, facile !
 Qui a dit ça ?
 Pendant que Philippe nous quitte pour reprendre le master resté à Ota (un raccourci par les gorges de Speloncato).
 Il récupérera Nathalie et Jean-Louis à son retour.
 Les 7 « survivants » se font le dernier col de la journée « Le Vergio » (1 474 m) 10 km à 5 % (Facile, facile ! Qui a dit ça ?). Puis une longue descente de 34 km nous fait longer le lac de Calacuccia, et traverser les gorges de Santa Régina.
 Encore quelques bornes de montée pour toucher le Graal, le master nous rejoint dans le dernier kilomètre !

 Hospitalité, gentillesse,
 générosité
 Avec énormément d’hospitalité, de gentillesse et de générosité, Sylvie et Paul Colonna, nos hôtes nous recevront dans leur magnifique maison.
 Après l’apéro, dîner, tarte, gnocchis, fromage de brebis, cru du pays, liqueur de Myrte, de Gentiane…
 Les chambres aux lits confortables nous tendent les draps pour une bonne nuit de récup !